26.3.21

Jean-Marc FORAX du 02 au 16 avril 2021

J’habite en banlieue parisienne, je suis diplômé des Beaux-Arts de Paris.

En des périodes plus ouvertes aux voyages je passe mon temps entre le Japon et la France.

En 2018 j’ai assisté à un festival traditionnel dans la ville de Kumagaya, le Uchiwa Matsuri. J’en ai rapporté des tas de photos et de souvenirs, le tout convertit en dessins et gravures comme j’aime le faire.

Le dessin, ma passion, m’accompagne depuis toujours mais Je n’ai pas vraiment de médium de prédilection.

J’alterne avec des installations ; vidéo, linogravure et récemment  bande dessinée.

Autant de façons de me raconter aux autres et de les raconter.

J’ai récemment abordé une série bande dessinée (pour ne pas le nommer roman graphique), je travaille d’après ma collection d’images insolites et, y rapporte une histoire provenant de choses entendues ou vécues ; des « Portraits de l’humanité du capitalisme tardif » en somme.  

D’autre part, je co-dirige les soirées dessinées, un collectif d’artistes qui effectue des fresques live dans des lieux divers, du squat au musée. L’occasion pour les artistes de créer devant un public en direct:   www.lessoireesdessinees.com 

L’installation que je fais spécialement pour le Hublot est une décomposition d’un dessin du Matsuri, à la façon du théâtre de papier japonais le « Kamishibai », la scène et les personnages ne sont pas sur le même plan, une façon de faire un clin d’œil à l’ancêtre du cinéma et de faire vivre mon dessin.

Le site de Jean-Marc FORAX ici
Son Hublot du soir


13.3.21

Guillaume LARROQUE du 19 mars au 02 avril 2021

A travers la peinture, c’est la matière, le grain, le mouvement qui donnent la force aux formes qui s’en échappent. Peintures de l’intime, les œuvres de Guillaume Larroque font appel au toucher, à la sensation sensible de soi, de son intériorité, des voyages que seuls avec nous-mêmes nous avons parcourus. Il s’en dégage parfois un sentiment presque religieux.

 

Comme un objet votif, de simples visages ou des éléments du communs semblent chargés d’une présence qui nous dépasse. La pesanteur du silence qui les entoure nous invite à la méditation. Un regard nous incite à prendre le temps, l’espace d’un instant et contempler les pleins, les vides, les aspérités, les formes ancrées dans une irréalité qui nous touche.

 

Le travail de Guillaume Larroque manie la lumière et l’ombre, les tons ocres et sombres pour capter les vibrations lumineuses à la surface de l’être. Il sculpte sa toile pour tenter d’atteindre cette part de vie qui se cache parfois au détour d’une forme, d’une ombre, d’une tâche.


Le site de Guillaume LARROQUE ici
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