Ca
commence par le choix du format, souvent à l’origine d’une série.
Une
tâche, une couleur, le choix du pinceau.
Une
action entraîne la suivante.
C'est
une opération simple, je navigue à vue.
Les
strates s'accumulent, occultent ou révèlent.
La
peinture déborde, d'une toile à une autre, logique d'ensemble.
Les
tableaux reposent, puis sont repris séance après séance.
C’est
une question de temps.
Je
cherche un équilibre fragile, entre action et non-action.
Espace,
geste, rythme, couleur.
Le
processus prend fin de lui-même, parfois comme une évidence.
C’est
un voyage suspendu, une belle illusion.
Le site de Nicola Bonessa iciSon Hublot du soir