20.5.18

Sophie BERNARD, le 25 mai 2018


« (…) cherchant dans le blanc de la toile à faire naitre un monde d’êtres exilés dans l’espace de la peinture, Sophie Bernard a peu à peu dépeuplé ses compositions de tous les détails capables de le priver de cet état d’alarme recherché en liant l’apparition de ses personnages à l’effacement de tout ce qui leur est étranger, elle a donné forme à des corps aux aguets, à des corps captifs, rivés à leur condition d’images (…).
La toile n’est plus blanche, mais reste brute, sans couleur que la sienne propre, et l’expression de notre société doit en sortir sans artifice. »
 Anne Tronche





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                       Son Hublot du soir