23.4.14

Karin TRULIN, 25 avril 2014

"Avec de l'encre, des craies, de l'acrylique ou de l'aquarelle, j'habille le
corps pour qu'il n'ait plus froid, je reconstruis la pensée pour qu'elle ne
s'échappe ... subtil paradoxe entre nudité des sentiments et du
paraître,fragilité des émotions et du temps qui passe... La prise de conscience
est brutale, presque animale tandis que la mémoire et les mots s'éparpillent...
Tentons alors de sauver, de canaliser ce qu'il reste du souvenir par la richesse
et la force des apparats..."

K. Trulin







son hublot