19.1.20

Indra MILO du 24 janvier au 07 février 2020


Je crois que toujours, partout, à toutes les échelles, « il y a ».
Qu’il y a une saturation de présences, que l’espace qui nous entoure est cette saturation. Je perçois des présences.
Je ne sais pas en déterminer la nature, mais mon intuition est qu’elles doivent être très changeantes, qu’elles peuvent être subtiles, comme très «épaisses».
Aussi, à l’intérieur de ce que nous identifions comme «forme», je vois un champ de possibles, le monde vivant, toujours en mouvement.
En sculpture ce que je cherche c’est d’incarner et de révéler ces présences.

Je passe par l’Animal, car il y a ce débordement joyeux de la forme animale quand elle se déploie, et que je vis également lorsque je taille le bois.
Et dans le chêne, la rencontre est si vive, et si grave, tellement animale.

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