le 04 septembre 2020
Née à Paris en 1985, Camille d'Alençon sort diplômée en sculpture appliquée aux matériaux de synthèse de l’École Olivier de Serre en 2006 et en image imprimée des Arts-Décoratifs en 2009.
Camille d'Alençon développe en autodidacte sa technique de peinture à l'huile en réalisant des portraits, après s'être familiarisée avec de nombreuses techniques de gravure, de sculpture et de moulage.
L'instantanéité de la peinture lui permet un cheminement d'un sujet à l'autre, elle présente au regardeur des non-lieux comme les toits des villes, le marché de Rungis, le périphérique parisien, des gestes, des postures dans des instants volés.
Voilà comment, entre le fascinant, l'impertinent, l’insolite, le beau, l'étrange, l'improbable, l'on chemine des animaux morts au périphérique.
Être toujours à la limite, provoquer, non pas pour déranger, mais pour dédramatiser. Il y a du beau dans une tête de veau ; tout compte fait !
Le site de Camille d'ALENÇON ici
Le Hublot du 03 juillet 2020
Le Hublot du 20 juillet 2020
Le Hublot du 14 août 2020Et quelques infos supplémentaires sur l'activité de Camille d'Alençon à venir...
Résidence à l'OpenBach à Paris 13
du 27 juillet au 2 août
Les paysages urbains seront à l’Espace d'Art Chaillioux
de Fresnes pour l'exposition «Urbanité»
du 8 septembre au 24 octobre
Les scènes métropolitaines et les portraits d’extérieur seront au Salon Artcité à Fontenay-sous-Bois
du 17 septembre au 17 octobre, vernissage le 19 septembre
Les portraits des travailleurs de Rungis
seront au Salon MacParis au Design Bastille Center du 10 au 15 novembre