13.1.19

Danaé MONSEIGNY le 18 janvier 2019



Cocon monolithe, pèlerine de plumes noires, maison de poupée-cage, suaire et feuille d’or…
Les carapaces, les secondes peaux s’apparentent ici à des refuges.

A l’image d’une fouille archéologique, mon travail consiste à faire affleurer à la surface un passé, un souvenir, une histoire oubliée… à faire fondre en une unité des morceaux d’affects d’une extrême fragilité.

L’agencement des formes, leurs revêtements, se révèlent complexes et minutieux. il est alors question de restauration, de transformation, de protection.
Par cet amalgame de traces et de matériaux organiques, le camouflage est souvent recherché.

C’est une vision d’un autre monde, d’une réalité déformée.
Dans l’espace, les incarnations se font écho et, comme dans une fresque, le récit se déploie par ricochet d’une œuvre à l’autre.





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