(…) En alternant rétroprojections, superpositions, mises en scènes, les
images fictives créées par Catherine Larré selon des procédés
traditionnels photographiques lui permettent à la fois de transformer en
images l’infigurable de la maladie et plus globalement du corps
intérieur et de plonger son regard et le nôtre dans les zones de "l’indéchiffré". Ces rapprochements par distanciation permettent à une
représentation visuelle, de faire venir les mondes de l’obscure
intériorité à la lumière.(…)
Jean-Louis POITEVIN