Le cinéma d’animation est notre moyen habituel
d’expression ; Mathilde* invente des
films animés de sables mouvants, et François quand il n’accompagne pas les
autres, afin que ces autres, justement, réalisent des films dans des écoles et
ailleurs, poursuit quelques sombres recherches photographiques.
Au hublot, comme en octobre 2013 pour
les nuits blanches à la galerie Fernand Léger, une machine à hybrider les
images de nos deux manières (photographies bizarroïdes, et dessins de poudre)
sera installée.
La machine maritale pourra-t-elle
rentrer dans le logement exigu de cet œil de bœuf ? Si tout passe, la figure d’Artaud encore
devrait planer sur Voltaire.
Images hybrides réalisées à quatre mains chamailleuses ; dessins de sables, éléments naturels, et photographies, le tout mélangé à l’aide de deux rétroprojecteurs.