Les couleurs superposées produisent une épaisseur temporelle, un foisonnement sous-jacent. Mes colorations résultent de métamorphoses pour devenir des reflets de souvenirs, de moments privilégiés.
Je peins les figures immémoriales que sont les maisons qui signifient aussi des familles, des histoires de voisinages, des temporalités. Ces maisons peintes sont de proportions communes, elles peuvent appartenir à tous ceux qui les regardent. Elles peuvent livrer des secrets, éveiller des réminiscences.
L’œuvre est accomplie quand je la vois autonome et régénératrice, ouvrant sur un ailleurs qui est ici, quand je suis convaincu de sa capacité à atteindre l’empathie et la mémoire du spectateur.
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Le Hublot de 22h01